Skip to main navigation Skip to main navigation Aller au contenu principal Skip to breadcrumb Skip to footer
1er réseau business

Grande consultation des entrepreneurs juin 2021

Si les évolutions des aides dans les mois à venir ne nuisent pas à la confiance des entrepreneurs, ceux-ci sont inquiets concernant les problèmes d'approvisionnement auprès des fournisseurs.
Grande consultation des entrepreneurs
Vendredi 25 juin 2021

 

A retenir pour le mois de juin 2021 

 

  • Les dirigeants profitent de la levée des restrictions et l'indicateur d'optimisme repasse la barre des 100 points et s'établit à 108. 

 

  • Relativement peu de dirigeants s’attendent à ce que leur entreprise subisse un effet négatif de la potentielle réduction des aides publiques mises en place pour faire face aux conséquences de la crise sanitaire : 17%, dont seulement 3% craignent un impact très négatif. L’effet anticipé sur l’économie française en général est plus ambigu. Si 55% des dirigeants d’entreprise s’attendent à un impact négatif, 30% estiment au contraire que la réduction des aides aura un impact positif.

 

  • 47% des dirigeants déclarent qu’ils doivent s’approvisionner en matières premières auprès de fournisseurs. Ces dirigeants constatent que la crise sanitaire a eu de nombreux impacts sur les capacités des fournisseurs de matières premières. La moitié constate un rallongement des délais de livraison (51%), un rallongement des délais de commande de la part des fournisseurs (50%) ou des difficultés d’approvisionnement (49%). 38% constatent même des pénuries, et 28% une offre moins variée. 

 

  • A l’occasion du G7 finances à Londres le 5 juin dernier, les pays du G7 ont annoncé leur volonté d’instaurer un impôt minimum mondial sur les sociétés. Avec un taux fixé à 15% comme annoncé, cette mesure recueille l’approbation d’une large partie des dirigeants d’entreprise. Pour une majorité d’entre eux, ce serait une bonne chose à la fois pour l’économie française (75%), pour l’économie européenne (74%), pour l’économie des pays développés en général (72%) mais également pour celle des pays en développement (64%). Un impôt minimum fixé à 25% serait en revanche moins bien accueilli : 48% verraient un tel taux comme une bonne chose pour l’économie française ou l’économie européenne, 47% pour l’économie des pays développés et 38% pour les pays en développement.

 

 

 

Télécharger les résultats complets de mai 2021

 

 

grande consultation : participez